La coopérative a pris naissance avec la construction d’un bâtiment qui est un lieu de rencontre pour les formations. Elle sert également pour stocker du matériel et des semences, pour vendre des fruits et légumes, car proche du marché. Nous l’utilisons également pour la fabrication et le stockage de produits phytosanitaires biologiques, comme le purin d’orties. Derrière la coopérative nous avons une plantation d’orties. Au départ cette plante avait disparu. Nous ne la trouvions plus ; c’est avec les pygmées que nous avons réussis de la retrouver dans des coins reculés du pays. Nous l’avons acclimatée à nouveau sur la commune de Nyarusange .

À proximité, nous avons un grand jardin cultivé collectivement par les paysans de la coopérative suivant des principes agroécologiques. Sous l’autorité d’un ingénieur agronome formé en Afrique, les paysans s’instruisent aussi mutuellement.

CRÉATION D’UNE COOPÉRATIVE ET CENTRE D’APPRENTISSAGE SUR L’AGROÉCOLOGIE A NYARUSANGE

Cette création avait pour but de mettre à la disposition des paysans tout ce qui est nécessaire pour faire fonctionner leurs exploitations et améliorer ainsi la production en qualité et quantité.

La coopérative a pris naissance avec la construction d’un bâtiment qui est un lieu de rencontre pour les formations. Elle sert également pour stocker du matériel et des semences, pour vendre des fruits et légumes, car proche du marché. Nous l’utilisons également pour la fabrication et le stockage de produits phytosanitaires biologiques, comme le purin d’orties. Derrière la coopérative nous avons une plantation d’orties. Au départ cette plante avait disparu. Nous ne la trouvions plus ; c’est avec les pygmées que nous avons réussi de la retrouver dans des coins reculés du pays. Nous l’avons acclimatée à nouveau sur la commune de Nyarusange .

À proximité, nous avons un grand jardin cultivé collectivement par les paysans de la coopérative suivant des principes agroécologiques. Sous l’autorité d’un ingénieur agronome formé en Afrique, les paysans s’instruisent aussi mutuellement.

Chaque paysan a reçu une vache au total 21vaches à 21 familles de paysans. Les paysans étaient heureux de recevoir des vaches, car dans la tradition burundaise, la vache est un signe de richesse. Ceci s’est traduit par la danse qu’ils ont faite en signe des cornes de cet animal.

Avec ce bétail, Ogena-Burundi a instauré la technique des chaînes de solidarités. C’est à dire à la naissance d’un premier veau, le paysan le donne à un autre paysan qui ne faisait pas partie de la coopérative.

c’est ainsi que nous sommes arrivés à 82 vaches de coopérative.