PROJETS EN COURS

1.     PARRAINEZ UNE FAMILLE DE PAYSAN

C’est bien au-delà d’un acte humanitaire que vous allez accomplir avec votre don. Il aura une incidence sur quatre problèmes majeurs qui empoisonnent non seulement la France, mais le monde entier. Il contribue à :

 

  1. Endiguer cette vague migratoire en fixant les populations dans leurs pays d’origine
  2. Éviter que cette population poussée par le désespoir aille grossir les bidons villes autour des grandes agglomérations ou les organisations comme Boko Haram ou Daech en profitent pour recruter des
  3. Maintenir une multitude d’écosystèmes, avec cette agriculture familiale qui permet de lutter contre cette 6e extinction massive du vivant. Mais la première dans laquelle la responsabilité de l’homme est clairement impliquée.
  4. Résoudre partiellement le chômage dans des zones fragiles. Dans le monde nous avons 500 millions d’exploitations familiales, ce qui représente avec le chef d’exploitation, son épouse et plus ou moins un ouvrier 1 milliard 500 millions d’emplois. Supprimer ne serait-ce qu’une partie de ces emplois, comme l’économie mondialisée l’encourage, appauvrit non seulement ces pays mais accélèrent les 3 premiers points que nous venons de citer.

Ceci est implicitement confirmé par les propos de  José Graziano da Silva  directeur général de la FAO, qui est l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture.

Il  s’exprimait ainsi  dans « Grands Lacs hebdo » cette région de l’Afrique où nous avons construit la coopérative Bitaho* , à Niarusangue au Burundi. Il soulignait :

* Bitaho « ce mot en kirundi veut dire l’endroit où l’on se retrouve pour échanger, apporter et recevoir des connaissances. Un endroit où l’homme se ressource » L’association OGENA BURUNDI a construit à Nyarusange la coopérative  Bitaho. C’est un lieu où nous dispensons des cours. Par exemple en leur apprenant à fabriquer des intrants comme du compost avec différentes techniques, des produits pour traiter certaines maladies avec des extraits fermentés d’ortie, de consoude, de tabac … L’enseignement se fait dans et autour de la coopérative avec un immense jardin-école où seule la culture biologique est autorisée

José Graziano da Silva  soulignait :

  1. Partout dans le monde, les exploitations familiales jouent un rôle essentiel sur le plan socioéconomique, environnemental et culturel.

 

  1. Il rend hommage, entre autres, à la contribution qu’apportent les agriculteurs familiaux à la sécurité alimentaire et au développement durable. Tous ces paysans prennent soin de la terre. Environ 500 millions des 570 millions d’exploitations agricoles dans le    monde sont dirigés par des familles. Elles sont les principales gardiennes       de nos ressources naturelles
  1. L’agriculture familiale est le premier employeur de la planète.
  1. L’innovation est essentielle pour soutenir l’agriculture familiale.
  1. Le renforcement de l’agriculture familiale profite à tous. Elle permet d’améliorer la nutrition du plus grand nombre, mais aussi d’injecter davantage d’argent dans les économies locales pour favoriser un développement durable.
  1. Ce développement durable rentre dans un cercle véritablement vertueux.
  1. Il convient d’accorder une attention particulière aux femmes et aux jeunes
  1. Elle permet d’enrayer l’exode des jeunes ruraux…

Notre association OGENA  BURUNDI partage totalement ces observations.

 

Concrètement comment va se passer votre parrainage.

Ci-après vous trouverez des photos de familles méritantes qui participent à la bonne marche de la coopérative BITAHO, aux travaux dans le jardin-école et qui s’occupent bien de leurs enfants pour qu’ils étudient. Ce parrainage est un complément logique pour rendre encore plus efficace la coopérative que nous avons créée en 2013. Fort de notre expérience cet argent sera versé aux femmes, car elles seules savent ce qu’il faut exactement pour la ferme ou le foyer ; ce sont-elles qui travaillent dans les champs et qui élèvent les enfants. Les femmes africaines nous ont toujours émerveillées ;  nous voulons que leur courage soit récompensé.

Si vous souhaitez parrainer une ferme et la famille qui l’exploite, veuillez prendre contact avec les personnes, adresses ci-dessous ; elles vous mettront en relation avec notre équipe qui est sur place et qui ne manquera pas de vous donner au minimum tous les 6 mois des nouvelles de ceux que vous aidez en vous envoyant également des photos pour vous montrer ce qu’ils ont acheté avec votre argent. Enfin, sachez que pour ceux qui le désirent vous pourrez un jour, si vous le souhaitez, aller au Burundi leur rendre visite. Les membres de l’association Ogena Burundi organiseront au mieux votre séjour. Vous pourriez par exemple le lier avec un voyage touristique dans les pays voisins qui possèdent les plus beaux parcs animaliers d’Afrique Kenya, Tanzanie, Congo, Rwanda… Ce qui fait l’originalité et la force de notre ONG c’est que nous avons peu de personnes dans les bureaux, mais de très nombreuses Africaines et Africains sur le terrain qui assurent un suivi de toutes nos actions. Vous pouvez également rencontrer celle qui est à l’origine de tout, INÈS photo ci-dessous avec ses coordonnées. Elle partage son temps entre la France où elle vit et son pays natal le Burundi. Les actions qu’elle mène sont le meilleur moyen de fixer toutes ces populations autochtones et de réduire les candidats à l’exile. Cet acte sera beaucoup plus efficace qu’un vote anti-migration ou la construction des murs de la honte qui sont non seulement inefficaces, mais en plus très coûteux. Choisissez les murs de l’intelligence et de l’amour le seul à même de résoudre les 4 problèmes que nous exposions au début de cet article.

La photo juste après ces explications représente l’une des premières familles qui ont été parrainées. Depuis le père est devenu le Président de la coopérative BITAHO  L’enfant qui est dans les bras de sa maman s’appelle « Jean d’amour ». C’est son nom officiel déclaré aux autorités religieuses et à la mairie ; tout cela en remerciement à leur parrain dont le prénom est Jean. Toute sa vie cet enfant saura pour quelle raison il s’appelle ainsi. Lorsque nous l’avons dit à son parrain, nous avons vu des larmes dans ses yeux ; des souvenirs comme celui-ci, l’Afrique est le seul pays au monde à pouvoir vous les offrir.

famille Gélase MANIRAMBONA

Famille Fabien BAREKEBAVUGE

LES FAMILLE A PARRAINER 

famille arcade NKESHIMANA

famille Elie NIYONKURU 

famille MANISHA Jean Pierre

Le coût d’un parrainage se monte à 30 euros par mois, coût réel après déduction fiscale 10,2 euros, le prix de deux bières pression par mois

Jean Delorme : 06 22 02 29 45

Jdelorme06600@gmail.com

Lina Inès Nezerwe :  07 58 13 10 29

nilface@yahoo.fr

2.     PROJET D’ELEVAGE DE PORCS

Le projet d’élevage de porcs a été réfléchi et mis en place dans le cadre d’aider les jeunes de Nyarusange sans emploi. Ogena-Burundi a initié ce projet après le recensement national des jeunes sans-emploi fait dans chaque commune en 2020.

Elle s’est rendu compte qu’il faut mettre en place à Nyarusange, un projet pouvant réunir une trentaine de jeunes de tous sexes et venant de différentes collines à Nyarusange.

Le projet a débuté avec une petite quantité de cheptels de 5 porcs qui étaient réunis dans les anciennes écuries de la coopérative. 5 premiers jeunes étaient chargés chacun de s’occuper d’un cochon.

2 des 5 jeunes ayant démarré le projet d’élevage de porcs

Actuellement les 5 premiers porcs se sont multipliés et comptent une vingtaine de porcelets. Ce qui nous  amène à mettre en place des chaînes de solidarité avec ces petits porcelets et ainsi démarrer la 2e phase de ce projet.

Ce projet a permis aux jeunes sans-emploi d’amorcer un travail et de le faire prospérer. Les jeunes burundais doivent savoir qu’ils ne sont ni les sujets ni les objets du développement, mais les acteurs de leur propre développement.

Les porcelets nés à la coopérative

C’est un projet qui ne va pas se limiter seulement à l’élevage, il compte évoluer jusqu’à la transformation des produits dérivés du porc d’où le projet de « transformation des produits frais de la ferme ».